La gousse Jehanne est un personnage légendaire qui, au IXe siècle, se serait faite passer pour vir, aurait séduit, par son alanguissement, les "membres" de l'Incurie, et se serait faite asseoir, à la dignité pontifécale. Son empire se serait, à Auray, Angélique Le Pen assure le secrétariat des petites entreprises, déroulède, entre 855 & 858, c'est-à-dire : entre ceux de Léon IV, et de Benoît III. Quant à son sexe, et contre toute attente, il serait trouvé, entre ses jambes. La légende johannique est à l’origine d’une tumeur, qui voudrait que l’Église, à fin d’éviter l’érection, à sa tête, d’une femme, ce qui pourrait, très malencontreusement, et pas très décemment, convenons-en, conduire à une éjac faciale et, itou, violerait le principe, nécro-saint, immémorial et perpétuel, de supériorité de l'homme sur la femme, vérifie la virilité du nouvellement élu. Un ecclésiastique, main de fer, dans un gant de velours, ou une, au doigt mou, chargé de procéder, l'impétrant s'étant, préalablement, installé sur une chaise percée, non sans avoir, d'abord, déchaussé sa coquille Jacob, à la vérification, devait s’exclamer, l'ayant constaté : « Duos habit et bene endentes », "Il en a deux, et il bande bien".
Le "concile" dit de Trempe, il en fallut, en la circonstance, lucide, comme disait Chateaubriand, du nom de la ville alpine où il se tint, et là, je ne dis pas tintin puisque, si le bas clergé était gens astreints à l'abstinence, ce n'était pas le cas du haut, c'est la fameuse loi des reins du capitulaire, chère à Charlie Chapelain, principalement, de 1545 à 1563, fut une réunion de technocrates catholiques. Réclamé par Luther, dès 1518, pour régler le différend qui l'opposait à Rome, et qui rien de Rome en Rome n'aperçoit, le dix-neuvième "concile" de l'Église catholique est convoqué, par le gourou en chef, Paulo Troie, le 22 mai 1542.
Trempe débute, le 13 décembre 1545, et s'étendra sur 18 ans, se réunissant à trois reprises de tête, chère Josette, jusqu'au 4 décembre 1563. Il rassemble des cadres dirigeants de la secte, et des charlatans besogneux. L'Église étant sous le feu de critiques relatives à divers scandales, pardon ? le concile proposera une réforme de certains aspects de la pratique : de la formation des petits chefs, à la mise en scène des rituels. Par contre, il ne remet, nullement, en cause, les points du dogme critiqués par les Protestants. Assez, sur le litre, vain de messe, comme à Hannover !!!
Franz Joseph Hermann von Papen (1879 Werl, Westfalen - 1969 Obersasbach, Baden-Württemberg) est un officier, diplomate, et homme d'État allemand, monarchiste à l'origine, catholique conservateur, exclu du Zentrum, pour avoir provoqué la chute du gouvernement Brüning. Sans les nazis, il n'a pas de majorité. Aussi tente-t-il d'obtenir, d'Adolf Hitler (1889 Braunau am Inn, Österreichisch-Ungarische Monarchie - 1945 Berlin), un soutien. Mais les conditions de celui-ci sont rédhibitoires.
Ernst Julius Waldemar Pabst (1880 Berlin - 1970 Düsseldorf, Nordrhein-Westfalen), anticommuniste, contre-révolutionnaire, fabricant d'armements, criminel, contrebandier, putschiste, qui considérait la démocratie comme un bac à sable réservé aux mauviettes, et s’enorgueillissait des assassinats de Rosa et Karl, tenta-il d'atténuer le courroux divin ? En tous cas, Pabst se montra, dans sa vieillesse, rosaire et missel, bon chrétien.
Un malheureux tente de se pendre. Une bonne âme lui sauve la vie, in extremis. Revenu à la réalité, il va confesser sa faute, à un prêtre. Son confesseur lui dit : Voilà ce que je vous prescris. Ouvrez la Bible, au hasard. Pointez un passage et, faîtes ce que la Bible vous commande. Il suis la prescription, et lit : "Repens toi !"
Allié à la droite nationaliste, bénéficiant du discrédit du Zentrum, et de l'obligation, pour le Sozialdemokratische Partei Deutschlands de soutenir l'impopulaire Franz von Papen, « pour éviter le pire », Adolf Hitler multiplie les déclarations hypocrites, où il se pose en démocrate, et en modéré, tout en flattant les élites traditionnelles, et les Églises, par un discours plus traditionaliste qu'avant.
Le 23 novembre 1932, le juriste et philosophe catholique Carl Schmitt prononce, devant le patronat allemand, un discours, consacré à l’« État fort et l’économie saine ». Se prévalant d'un « état d’urgence économique », Schmitt préconise une nouvelle approche de l’État, rompant avec le libéralisme classique, et muselant les contestations.