La franc-maçonnerie française, durant l'entre-deux-guerres, connait, au terme de la Première Guerre mondiale, une période simultanée d'engagement, et de questionnement. Les deux grandes obédiences françaises, le Grand Orient de France, et la Grande Loge de France, tout en étant proches, et concurrentes, s'unissent, tant dans le soutien à l'union des gauches, que face à la montée des totalitarismes, dans l'Europe de l'entre-deux-guerres, du retour du cléricalisme et du nationalisme. Si elle place une partie de ses espoirs dans la Société des Nations, et dans la construction d'une Europe pacifiée, elle assiste à la disparition de la franc-maçonnerie allemande, dans la montée du nazisme, et s'implique dans un soutien à la franc-maçonnerie italienne, face au régime fasciste de Benito Mussolini.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Franc-ma%C3%A7onnerie_fran%C3%A7aise_durant_l%27entre-deux-guerres
On pourra, à cet égard, se référer, avec quelque profit, à la passionnante, et très documentée, étude, de la grande vulcanologue vaticaniste Élise Laroux-Bignole (La vie sexuelle des escargots, à travers les âges, racontée aux enfants, Éditions Mali-Gare, Bamako, 1944), sur la société papakipu, un groupe de populations vivant dans les îles Boisbriand, en Independen Stet bilong Papua Niugini, dans laquelle pullulent les références rousseauistes, bien senties, à la pratique traditionnelle de la chasse aux papouillons.