Duos habet

Duos habet et bene pendentes

La gousse Jehanne est un personnage légendaire qui, au IXe siècle, se serait faite passer pour vir, aurait séduit, par son alanguissement, les "membres" de l'Incurie, et se serait faite asseoir, à la dignité pontifécale. Son empire se serait, à Auray, Angélique Le Pen assure le secrétariat des petites entreprises, déroulède, entre 855 & 858, c'est-à-dire : entre ceux de Léon IV, et de Benoît III. Quant à son sexe, et contre toute attente, il serait trouvé, entre ses jambes. La légende johannique est à l’origine d’une tumeur, qui voudrait que l’Église, à fin d’éviter l’érection, à sa tête, d’une femme, ce qui pourrait, très malencontreusement, et pas très décemment, convenons-en, conduire à une éjac faciale et, itou, violerait le principe, nécro-saint, immémorial et perpétuel, de supériorité de l'homme sur la femme, vérifie la virilité du nouvellement élu. Un ecclésiastique, main de fer, dans un gant de velours, ou une, au doigt mou, chargé de procéder, l'impétrant s'étant, préalablement, installé sur une chaise percée, non sans avoir, d'abord, déchaussé sa coquille Jacques, à la vérification, devait s’exclamer, l'ayant constaté : « Duos habit et bene endentes », "Il en a deux, et il bande bien".

Grâce au soutien français, le conclave qui s'ouvre, à la mort de Clément XIV, élit Giovanni Angelo Onofrio Melchiore Natale Antonio, né le 25 décembre 1717, jour de Noël, à la dignité pontificale. Il choisit le nom de règne de Pie VI, en hommage à Pie V, pape de l'application du concile de Trente. Élu le 15 février 1775, il est consacré évêque et couronné, simultanément, le 22 février, à 58 ans.

La papesse Jeanne est un personnage légendaire qui, au IXe siècle, se serait faite passer pour homme, aurait séduit les membres de la Curie, par son érudition, vous saisissez la corps élation, et se serait fait asseoir, à la dignité pontifécale. Son empire dur-dure, entre 855 & 858, c'est-à-dire entre ceux de Léon IV, et de Benoît III. Quant à son sexe, et contre toute attente, il serait situé entre ses jambes.

La légende de la papesse Jeanne est à l’origine d’une rumeur, qui voudrait que l’Église, à fin d’éviter l’érection, à sa tête, d’une femme, une sorte d'éjac faciale, en quelque sorte, ce qui, d'une part, ne serait pas très décent et, d'autre part, violerait le principe, immémorial et perpétuel, de supériorité de l'homme sur la femme, vérifie la virilité du pape, nouvellement élu.

Un ecclésiastique, une, en cas de doute, chargé de procéder, main de fer, dans un gant de velours, le récipiendaire s'étant installé sur une chaise percée, non sans avoir, naturellement, préalablement, déchaussé sa coquille, à la vérification, devait s’exclamer : « Duos habet et bene pendentes », "Il en a deux, et elles pendent bien".

Une chaise percée, à ne pas confondre avec La Chaise-Dieu, qui est une commune française, située en Haute-Loire, est un siège, inventé par Perceval, cité parmi les chevaliers arthuriens pour attendre, dans Érec, au cours de sa longue quéquette du Gras-double, dans lequel a été aménagée une ouverture, permettant de faire ses besoins.

Il s'agit, en quelque sorte, de la combinaison, combinazione, en ritalouzie, de nos jours, les prolos parlent, plutôt, de nuisette, d'une chaise et d'un vase de nuit. Effectivement, jusqu’au XVIe siècle, des chaises percées étaient utilisées, par l’Église, pour confirmer que le nouveau pape était bien un homme, et non un ver de terre.

Pour ce qui est de satisfaire qui que ce soit, l'affaire n'est pas jugée. En haut-allemand, on dit : "Ich bin satt". Mais, pour ma part, turiente & arthurienne, avec José, je ne suis pas -absolument- certain que cette expression ne soit pas, quelque peu, "vulgaire" !!! Un autre a prétendu : "Ich bin ein Berliner". Mais, il semble que cela ne lui ait pas porté chance. C'est cela, les sociaux-démocrates : jamais avares d'un cadavre, quand on en vient aux choses sérieuses !!! Selon des chroniques dominicaines du XIIIe siècle, Jeanne serait née à Mayence, en Allemagne, ceci expliquerait cela.

L'ai-je bien défendu ? D'ailleurs, les prolos prétendent que : "Tout ce qui est fendu, n'est pas défendu !!!" Je ne devrais pas le dire mais, au service militaire, j'avais un camarade, qui s'appelait Fender. Le maréchal des logis chef, le Kapo, disait, à l'occasion : "Vas chercher deux haches, qu'on se fendèrent la gueule" !!! Qui trop embrasse, mâle étron. Arrière, Sheitan...

Date de dernière mise à jour : 09/02/2024